18.12.07

My boy, the funny f...

Ce garçon-là...

On s'entend mal, ces temps-ci, mais il me fait comprendre néanmoins que le ridicule ne tue que ceux qui le craignent. Comme moi, par exemple.

Il m'envoie ce trio d'elfes dansants: lui, ma bru, sa fille. My boy, the funny f...

I love that kid, God help me. Il ne comprend pas tout, ni moi non plus, mais bon, j'en sais quand même un peu plus long. Par exemple, il se figure que je le désirerais copie conforme de son vieux. Quelle drôle d'idée. J'ai toujours été au fait que je ne supporterais jamais de me rencontrer moi-même, et je suis fier qu'il ait développé sa propre personnalité, et j'aime les traits qu'il tient de sa mère, que j'aimais, après (et avant) tout.

Surtout, ce n'est pas Justin Trudeau, ce perroquet stérile et stupide qui se renie lui-même et nierait ma nation pour honorer la mémoire d'un père qui lui portera toujours ombrage.

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