20.2.08

DA

Ché pas qui c'est, Double Assassinat, ché pas si c'est un gars ou une fille, et en signant parfois DoubleAssass', le baudet ainsi quadruplé ne me simplifie pas l'enquête; il m'arrive de soupçonner Chantal et Aleksi, mais ils sont déjà si pris à être Anne Archet... bref, c'est très compliqué.

Ché pas c'est qui, Double Assassinat, mais ça torche. J'ai eu connaissance de son blog quand son blog m'a payé la traite, et depuis je jouis et j'apprends en le lisant. C'est violent, brillant, analytique, violent, sincère, violent, brutal, irrationnel parfois mais rarement, et violent. Et c'est brillant.

Et anonyme, ce qui est triste, mais je vous y réfère anyway: les ceuzes qui passent par ici se ramasseront pas là-bas en terra incognita.

2 commentaires:

Anonyme a dit...

Sauf que je ne suis plus tellement anonyme, je dirais. Ou sinon, c'est que vous avez manqué l'épisode dans lequel en plus de dévoiler mon identité, enfin, ma grosse face, je me dévoilais un sein, plein blog. J'ai retiré le post hier, me disant que tout le monde l'avait assez vu et que ma vie était officiellement finie. Il paraît que l'idéal, c'est de ne pas montrer sa nudité, surtout pas sur la fameuse toile. Le nombre de visiteurs a augmenté depuis.

Enfin, je ne sais pas quoi dire. Merci. Merci pour les commentaires. D'avoir pris le temps. Je viens ici régulièrement, je ne sais pas, ça me scie les jambes ce matin de voir qu'on y parle de moi, et qu'on y parle de moi dans ces mots. Je voudrais bien dire :"je suis au-dessus de tout ça moi, ce que les autres pensent", pourtant. J'imagine que le nombre de mes visiteurs augmentera encore.

Mistral a dit...

J'attendais de voir l'autre globe annoncé avant de trancher, mais vous aviez décidé de vous retrancher, et on dira ce qu'on voudra, je respecte la pudeur privée d'autrui tant qu'autrui ne fourre pas son groin dans mes affaires. Tant mieux si ma note a pu vous faire plaisir, même si ce plaisir est trouble: je voulais dire davantage, je voulais dire que vous dites mieux que moi ce qu'il faut dire, mais je n'ai pas pu le dire parce qu'autrui crissait sa truffe dans ma vie et que je devais donner du bâton.