13.2.10

Moshtarak: un rire absolument contagieux...


Tabarnak. Pauvre petit gars. Se faire tirer dessus par son propre gang, le nôtre.

Tirons-nous donc de là au plus sacrant...

4 commentaires:

gaétan a dit...

Ce type d'entraînement est normal pour les soldats et essentiel pour les aider à maintenir un niveau d'expertise élevé»,...dit un haut-gradé dans le texte de la presse.
J'ai jamais entendu ou lu que le Canada était reconnu comme une grande nation guerrière.
Je préfère les voir se déployer lors de catastrophe et offrir une aide humanitaire.

Yvan a dit...

140e victime.
Tué par sa propre armée.
140e famille durement éprouvée.
J'ose à peine imaginer le deuil
à faire dans ce cas de bavure
de son propre camp.

Blue a dit...

Sigh, terrible cette histoire là...
D'un coup je pense à mes petits gars à moi, j'sais bien c'est un peu égoïste mais quel beau merdier quand même que tout ça!

Blue a dit...

Pis là va savoir pourquoi je me sens en verve, la guerre l'affreuse l'inévitable parfois, pourquoi faut-il que ce soit la seule réponse à portée, de tir de char d'armes à destruction massive ou plus missive...
J'avoue me demander chaque jour comment pourrais-t-on faire autrement?
Quoi! La belle affaire, s'entretuer, y mettre tant d'énergie de moyens d'audace de recherches, suis subjuguée sauf par le résultat, combien de temps faudra-t-il, de temps et de tripes pour arriver à une acceptation de l'autre, un amour du possible et une humilité face à l'inconnu.
Je ne suis pas blindée d'orgueil mais je suis fière, je ne suis pas égotiste ni égocentrique mais indépendante et assez libre un tantinet, suis plutôt riante ouverte et partageuse, mais j'avoue avoir un certain malaise face à ces violences et ces appétits de conquête.
Je ne crois pas qu'aucun individu n'adhère librement à une idée sous la contrainte, seulement et ça je le pense vraiment, on est libre quand on se permet de penser par soi-même encore faut-il faire le deuil d'idées reçues parfois pleines de bon sens, d'atavismes d'héritages et de manipulations, guerroyer n'est pas inutile parfois, mais le plus important c'est de vivre en adéquation en fluidité et en accord avec ce en quoi on croit et ce que l'on défend de soi-même de ce profondément humain de cet essence qui nous nourrit de cette conviction profonde de cet inaliénable, le reste n'est que foutaise, tragique et malheureusement pas inutile pour réveiller notre conscience qui pourrait s'endormir sur ses lauriers loin d'être roses.
L'aventure de la vie est à chaque jour qui passe, comment on l'appréhende et qu'en fait-on?
On peut tous mourir d'une balle perdue ou déplacée.
On va tous mourir, mais pas avant de s'être battu pour vivre...